Oeuvres de Martin Heidegger, La métaphysique de l’idéalisme allemand, (Schelling)
EAN13
9782070148363
ISBN
978-2-07-014836-3
Éditeur
Gallimard
Date de publication
Collection
Bibliothèque de Philosophie
Séries
Oeuvres de Martin Heidegger
Nombre de pages
256
Dimensions
22,4 x 22,5 x 2,1 cm
Poids
377 g
Langue
français
Langue d'origine
allemand
Fiches UNIMARC
S'identifier

La métaphysique de l’idéalisme allemand

(Schelling)

De

Traduit par

Gallimard

Bibliothèque de Philosophie

Offres

Autres livres dans la même série

Tous les livres de la série Oeuvres de Martin Heidegger
Après le grand cours de 1936 sur le traité de Schelling de 1809, les Recherches philosophiques sur l’essence de la liberté humaine, Heidegger remet en 1941 l’ouvrage sur le métier. Il propose ici une interprétation «renouvelée» du traité dans lequel il voit «le sommet de la métaphysique de l’idéalisme allemand», ou encore «le cœur de toute métaphysique de l’Occident». C’est dire que, loin de faire double emploi avec le cours de 1936 (dont la traduction française a paru en 1977 sous le titre Schelling), ce cours de 1941 reprend à nouveaux frais la problématique schellingienne. Le fil directeur de l’analyse est la distinction entre «fond» et «existence», analogue à celle entre pesanteur et lumière. En fait d’«écrit sur la liberté», dit Heidegger, il serait plus pertinent d’appeler l'ouvrage «l’écrit sur le mal», la liberté étant déterminée par Schelling comme pouvoir non du bien ou du mal, mais du bien et du mal. C’est cette solidarité entre la liberté et le mal qui est interrogée. C’est aussi l’occasion, pour Heidegger, de préciser en quoi le concept d'existence, tel qu’il l’élabore dans Être et temps, se démarque de ce qu’entendent sous ce nom Schelling, Kierkegaard et Jaspers. Ce n’est pas le moindre prix de ce cours que de prévenir le contresens, courant en France, selon lequel le traité de 1927 relèverait de «philosophie de l’existence» ou de l’«existentialisme».
Après le grand cours de 1936 sur le traité de Schelling de 1809, les Recherches philosophiques sur l’essence de la liberté humaine, Heidegger remet en 1941 l’ouvrage sur le métier. Il propose ici une interprétation «renouvelée» du traité dans lequel il voit «le sommet de la métaphysique de l’idéalisme allemand», ou encore «le cœur de toute métaphysique de l’Occident».
S'identifier pour envoyer des commentaires.