Phénoménologie de la vie, 2, DE LA SUBJECTIVITE - PHENOMENOLOGIE DE LA VIE. TOME II, Phénoménologie de la vie. Tome II
EAN13
9782130588023
ISBN
978-2-13-058802-3
Éditeur
Presses universitaires de France
Date de publication
Collection
Épimethée
Séries
Phénoménologie de la vie (2)
Nombre de pages
192
Dimensions
21,7 x 15 x 1,1 cm
Poids
267 g
Langue
français
Code dewey
142.7
Fiches UNIMARC
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2 - De La Subjectivite - Phenomenologie De La Vie. Tome Ii

Phénoménologie de la vie. Tome II

De

Presses universitaires de France

Épimethée

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« Si l'on suppose que toute communauté humaine repose sur une vie phénoménologique omniprésente dont elle reçoit sa force et sa certitude, la mise à l'écart de la phénoménologie sera celle de cette vie cachée et toute-puissante. Dès lors son reflux de la culture laisserait place à la spéculation traditionnelle, à une philosophie du langage coupée de ce soubassement de la Vérité, libre de dérouler sans fin ses intentions verbales et ses jeux de mots. »

Par ces mots, Michel Henry donne à penser que ce serait pour faire obstacle à ce reflux possible, à cette philosophie qui joue sur les mots, au déni de ce soubassement de Vérité sur quoi reposent l'existence et le développement de toute communauté humaine, qu'il a été amené à prendre la parole en marge et commentaire de son œuvre publiée et à poser à ses contemporains la question qui mérite le plus d'être posée : « Qu'est-ce que cela que nous appelons la vie ? »

Au lendemain de sa mort en juillet 2002, il devenait nécessaire, voire urgent, de rassembler la plupart de ses essais, études, articles et conférences publiés dans des revues ou restés inédits. Tel est l'enjeu des quatre volumes de Phénoménologie de la vie, qui marquent une étape décisive dans la constitution de ses « Œuvres complètes ».

Les textes de ce deuxième volume montrent comment Michel Henry intervint dans l'un des principaux débats de son temps, la critique du « sujet », mit en question les fondements de la philosophie moderne de Descartes jusqu'à Nietzsche et Freud, et a reconquis un concept radical de la subjectivité.

Michel Henry, décédé en 2002, était professeur à l’Université Paul-Valéry de Montpellier et enseignait dans plusieurs universités françaises et étrangères. C’était un penseur engagé, à l’avant-garde de la phénoménologie, auteur de nombreux ouvrages publiés en partie dans la collection « Épiméthée », dont La barbarie, repris dans la collection « Quadrige ».
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