- EAN13
- 9782081392533
- Éditeur
- Arthaud
- Date de publication
- 08/05/2019
- Collection
- Récits et témoignages
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Autre version disponible
-
Papier - Arthaud 19,00
« J’ai vécu une longue vie. Elle m’a donné joies et tristesses. Elle m’a aussi
beaucoup appris. Pour moi, l’heure est venue de vous transmettre mon savoir. »
Raoni a confié ses mémoires à Jean-Pierre Dutilleux en 2009 et en 2017. Depuis
leur première rencontre en 1973, il n’est plus le même homme. Il a découvert
le monde qui l’entoure au Brésil et au-delà des mers. Ce recueil inédit
éclaire les pistes et fondations du monde des premiers habitants de la forêt
amazonienne. Raoni souhaite que ce testament puisse inspirer certains à suivre
ce chemin et tenter de protéger les Indiens, gardiens des dernières forêts
primaires qui, toutes, sont attaquées. Avec elles, disparaissent des trésors
de biodiversité, indispensables à la survie de notre planète, de milliards
d’êtres humains, d’espèces animales et végétales. « Après ma mort, j’aimerais
que les Indiens vivent tranquilles dans la forêt, qu’ils puissent chasser,
pêcher et aussi chanter et danser au village. C’est cela la vie des Kayapos. »
beaucoup appris. Pour moi, l’heure est venue de vous transmettre mon savoir. »
Raoni a confié ses mémoires à Jean-Pierre Dutilleux en 2009 et en 2017. Depuis
leur première rencontre en 1973, il n’est plus le même homme. Il a découvert
le monde qui l’entoure au Brésil et au-delà des mers. Ce recueil inédit
éclaire les pistes et fondations du monde des premiers habitants de la forêt
amazonienne. Raoni souhaite que ce testament puisse inspirer certains à suivre
ce chemin et tenter de protéger les Indiens, gardiens des dernières forêts
primaires qui, toutes, sont attaquées. Avec elles, disparaissent des trésors
de biodiversité, indispensables à la survie de notre planète, de milliards
d’êtres humains, d’espèces animales et végétales. « Après ma mort, j’aimerais
que les Indiens vivent tranquilles dans la forêt, qu’ils puissent chasser,
pêcher et aussi chanter et danser au village. C’est cela la vie des Kayapos. »
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